Depuis hier, il pleut, il fait froid et j'ai l'impression d'être en novembre. Dur pour le moral! De plus, les enfants sont enrhumés. Chaque fois que j'approche de Corinne avec un mouchoir elle se met à hurler et Antoine discute à n'en plus finir chaque fois que je lui demande de se moucher. A part ça, tout va bien.
Corinne commence à répéter quelques mots: maman, encore, yogourt, nanane (banane), non (évidemment!).
Antoine s'intéresse toujours aux dinosaures. D'ailleurs il m'a fait hurler de rire cette semaine.
Moi: Ah non, le chien a encore ch... sur le tapis!
Antoine: papa!, le chien à ch... sur le tapis.
Moi: Antoine, ne répéte pas les gros mots de maman!
Antoine: Papa!, il y a un coprolite sur le tapis..
En images, le bain d'hier soir
dimanche 30 septembre 2012
jeudi 20 septembre 2012
mercredi 19 septembre 2012
Antoine et l'école
J'ai le bonheur et la chance d'avoir un petit garçon qui adore l'école. Tous les soirs, il me demande s'il a de l'école le lendemain! Jusqu'à maintenant, je suis très satisfaite d'avoir choisi avec Charles de l'envoyer au pré-scolaire. L'école de Ste-Famille est une petite école (80 élèves!) et les classes sont multi-niveaux. Cette année, la maternelle ne comptait que 5 enfants, dix places ont donc été attribuées aux enfants de 4 ans. Ils fréquentent donc l'école, dans la classe maternelle, le mardi et le jeudi. Antoine s'est même fait deux petits copains déjà: Raphaël et Maxime. J'espère de tout coeur que son amour de l'école le suivra toute sa vie... (et que sa soeur suivra!)
lundi 17 septembre 2012
Petit dimanche comme je les aime
Nous avons passé un très beau dimanche avec nos grands amis Jean-François et Marylène. Vers 11h00, petit apéro (vin blanc et saucisson), suivi d'une potée de choux et d'un jambon. Pour clore le tout, de petites crèmes brûlées. J'avoue qu'elles portaient bien leur nom: mon chum ne retrouvant plus la torche, j'ai dû les passer sous le grill... un peu trop! D'ailleurs, en procédant de cette façon, on perd le constraste entre le froid de la crème et le chaud du sucre caramélisé étant donné que la crème réchauffe au four.
Dans l'après-midi, nous sommes allés sur la grève de St-François tenter de faire voler le cerf-volant acquis aux États-Unis. Le vent étant léger, nous n'avons pas eu beaucoup de succès mais bien du plaisir!
Marylène et Corinne
Dans l'après-midi, nous sommes allés sur la grève de St-François tenter de faire voler le cerf-volant acquis aux États-Unis. Le vent étant léger, nous n'avons pas eu beaucoup de succès mais bien du plaisir!
Marylène et Corinne
mercredi 12 septembre 2012
Des photos
Je suis pas mal en retard dans mes photos! En voici donc quelques-unes...
Premier matin de pré-maternelle pour Antoine.
J'ai eu le malheur d'acheter le déguisement d'halloween d'Antoine en avance cette année... Depuis deux jours, il enfile son déguisement de Luigi (personnage de console WII), dès qu'il se lève et le retire pour prendre son bain!
Premier matin de pré-maternelle pour Antoine.
J'ai eu le malheur d'acheter le déguisement d'halloween d'Antoine en avance cette année... Depuis deux jours, il enfile son déguisement de Luigi (personnage de console WII), dès qu'il se lève et le retire pour prendre son bain!
vendredi 7 septembre 2012
Le hip hop du médecin
Voici ce qu'Antoine faisait la veille de son opération... Quand je vous dit que nous l'avions préparé!!
jeudi 6 septembre 2012
De retour à la maison
Nous sommes de retour à la maison depuis vendredi passé. Désolée, je n'ai eu ni l'envie ni le temps d'écrire avant. L'intervention en soi s'est bien déroulée. Pour le reste, je suis restée très amère. Je m'explique. Nous avons pris la peine de bien préparer Antoine à cette chirurgie. Nous lui avions parlé, fait visiter l'hôpital, etc. Alors que nous étions dans notre chambre que nous devions partager avec une autre petite patiente, la voilà de retour du bloc, souffrante et en larmes. Je n'ai eu que le temps de tirer Antoine hors de la chambre afin de lui éviter cette vision tout à fait stressante pour lui qui devait subir le même type d'opération. Bravon le CHUQ pour la pédagogie... Ensuite, on nous annonce qu'ils vont effectuer "deux petites interventions" avant celle d'Antoine alors qu'il est déja rendu plus de 13h00. Nous sommes finalement monté au bloc à 14h30! Ce n'est pas tout. Nous rencontrons le chirurgien d'Antoine (et de Corinne). Il arrive visiblement débordé et nous demande littéralement "alors que fait on à Antoine aujourd'hui?"!! Devant notre air perplexe, il regarde son dossier et nous demande si la fistule est importante. Je bredouille, regarde Charles et ne sait que répondre. Charles le regarde et lui dit, "ça commence à être inquiétant". Je lui répond alors que l'intervention prévu est l'allongement du voile du palais. Il prend le tout en note et nous dit ok en se levant. Antoine part alors comme un bon petit soldat avec l'anesthésiste. J'éclate en sanglots.
au
Vers 16h00, Antoine revient de la salle de réveil. Nous voilà soulagé. Il ne semble pas trop souffrant. Vers minuit, comme il n'a toujours pas uriné, on me parle de lui installer une sonde dans le pénis afin de vider sa vessie. Je leur demande d'attendre sachant que lors des dernières opérations, il a fini par le faire de lui même. A 2h00 du matin, les infirmières arrivent (elles sont trois) et me disent qu'il est impératif de lui installer une sonde. Elles sont deux à le maintenir et une qui maladroitement tente de lui insérer la sonde. Je vois bien qu'elle a de la difficulté. Mon fils hurle et je pleure silencieusement tout en tentant de le calmer. On vide sa vessie, retire la tuyau et je prends Antoine dans mes bras pour le reste de la nuit. Le lendemain matin, le même cirque recommence: il doit uriner. Je l'emmène à la toilette. Dès qu'il essaie il se met à pleurer et me demande de lui enlever son tuyau. Je lui explique qu'il n'a plus de tuyau et que c'est parce qu'il est irrité que cela lui fait mal. Il refuse alors d'uriner. Finalement, le pédiatre de l'étage a dû lui donner de l'ativan afin de l'assommer un peu pour que je puisse l'emmener au toilette. Il est tellement parti que cela fonctionne. Dès qu'il sort des vapes, il refuse de nouveau d'uriner. Le lendemain et rebelotte l'ativan. Finalement, le vendredi matin, il accepte d'uriner seul et heureusement il n'a plus mal... Ouf.
J'ignore ce qui s'est passé cette fois çi. Je sais que je vais en parler au Comité. J'ai perdu confiance et le tout doit s'arranger avant l'opération de Corinne.
au
Vers 16h00, Antoine revient de la salle de réveil. Nous voilà soulagé. Il ne semble pas trop souffrant. Vers minuit, comme il n'a toujours pas uriné, on me parle de lui installer une sonde dans le pénis afin de vider sa vessie. Je leur demande d'attendre sachant que lors des dernières opérations, il a fini par le faire de lui même. A 2h00 du matin, les infirmières arrivent (elles sont trois) et me disent qu'il est impératif de lui installer une sonde. Elles sont deux à le maintenir et une qui maladroitement tente de lui insérer la sonde. Je vois bien qu'elle a de la difficulté. Mon fils hurle et je pleure silencieusement tout en tentant de le calmer. On vide sa vessie, retire la tuyau et je prends Antoine dans mes bras pour le reste de la nuit. Le lendemain matin, le même cirque recommence: il doit uriner. Je l'emmène à la toilette. Dès qu'il essaie il se met à pleurer et me demande de lui enlever son tuyau. Je lui explique qu'il n'a plus de tuyau et que c'est parce qu'il est irrité que cela lui fait mal. Il refuse alors d'uriner. Finalement, le pédiatre de l'étage a dû lui donner de l'ativan afin de l'assommer un peu pour que je puisse l'emmener au toilette. Il est tellement parti que cela fonctionne. Dès qu'il sort des vapes, il refuse de nouveau d'uriner. Le lendemain et rebelotte l'ativan. Finalement, le vendredi matin, il accepte d'uriner seul et heureusement il n'a plus mal... Ouf.
J'ignore ce qui s'est passé cette fois çi. Je sais que je vais en parler au Comité. J'ai perdu confiance et le tout doit s'arranger avant l'opération de Corinne.
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